AMERIQUE / BRESIL - Le Chapitre général réélit Mère Gabriella Bono à la tête des Missionnaires de la Consolata, en marche vers le centenaire de l’Institut

mardi, 24 mai 2005

São Paulo (Agence Fides) - Le dimanche 22, s’est déroulée l’élection de la Direction Générale des Sœurs Missionnaires de la Consolata, presque à la fin du IX° Chapitre général qui s’est tenu à São Paulo au Brésil. Mère Gabriella Bono a été réélue à la tête de l’Institut pour les six prochaines années. Après son élection, elle a déclaré : « La communion et la co-responsabilité, dans la diversité et dans la richesse de l’inter-culturalité, continueront à faire fleurir la vie de l’Institut, et l’accompagneront vers le centenaire de sa fondation ».
Mère Gabriella Bon sera aidée par les religieuses suivantes : Sœur Anair Voltolini, Brésilienne, qui était Supérieure régionale au Mozambique ; Sœur Jane Wambui Muguku, du Kénya, ayant une expérience de Mission au Libéria et un long service dans la formation initiale ; Sœur Simona Brambilla, Italienne, qui après une expérience de Mission au Mozambique, était dernièrement professeur à l’Institut de Psychologie de l’Université Pontificale Grégorienne de Rome ; Sœur Renata Conti, Italienne, qui a eu une longue expérience missionnaire en Colombie.
La nouvelle Direction dirigera le chemin de l’Institut vers le Centenaire de la fondation, survenue le 29 janvier 1910, par le Bienheureux Giuseppe Allamano. Actuellement, les Missionnaires de la Consolata sont présentes en Europe (Italie, Suisse, Espagne, Portugal, Angleterre), en Afrique (Kénya, Ethiopie, Tanzanie, Mozambique, Somalie, Djibouti, Libéria, Guinée-Bissau), et en Amérique (Argentine, Brésil, Vénézuéla, Bolivie, Colombie et Etats-Unis). Depuis deux ans, elles sont aussi en Mongolie. En près d’un siècle, l’Institut des Sœurs Missionnaires de la Consolata s’est développé et s’est enrichi de membres de différentes nationalités. Le chemin des six prochaines années sera marqué par la recherche d’une plus gande inculturation du charisme et de l’annonce de consolation chez les peuples avec lesquels les religieuses partagent leur cheminement. (S.L.)
(Agence Fides, 24 mai 2005, 27 lignes, 320 mots)


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