OCEANIE/AUSTRALIE - Les évêques appellent à la paix pour la Journée de la justice sociale

mardi, 14 septembre 2010

Sydney (Agence Fides) - Le 26 septembre, en Australie, sera célébrée le Dimanche de la Justice Sociale (Sociale Justice Sunday). Le titre du document rendu public pour l'occasion par les évêques catholiques du pays est “Violences en Australie : Un message de paix” et parle de la violence à tous les niveaux : personnel, familial, communautaire et dans les structures nationales. Une note envoyée à Fides par John Ferguson, vice-directeur de l'Australian Catholic Social Justice Council, montre que la paix n'est pas seulement l'absence de conflit, mais qu’elle implique le véritable développement des personnes. La paix signifie garantir aux personnes le droit et les moyens pour prendre une part active à la vie communautaire et prendre conscience du potentiel spirituel, culturel, social et économique de leur vie. Nous connaissons tous très bien les cas de violence interpersonnelle, des conflits de rue, des agressions ou des attaques de colère, par exemple. La violence peut impliquer des conséquences tragiques même dans des contextes familiers ; l'intimidation et le harcèlement dans les écoles et sur internet, ainsi que dans les reportages rhétoriques et politiquement discordants dans les médias. Un exemple récent est la diabolisation des demandeurs se tournent donc vers les dirigeants nationaux afin qu’ils adoptent une approche bipartite pour répondre aux obligations internationales envers les personnes les plus vulnérables dans le monde. Le document exhorte tout le monde à réfléchir aux moyens de construire la paix à tous les niveaux de la société et à identifier les domaines de la vie du pays touchés par l'exclusion, l'oppression et la violence. Il s’adresse également à ceux qui sont courageusement engagés dans la cause de la paix, et invite les Australiens à réfléchir sur la façon de répondre concrètement à l'invitation de l'Evangile d’apporter la paix au monde. (AP) (Agence Fides 14/09/2010 ; 21 lignes, 295 mots)


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